L’Union Nationale de l’Apiculture Française et la Fédération Française des Apiculteurs Professionnels saluent le vote, cette nuit, d’un amendement sur la réglementation de l’étiquetage des miels.
Le 27 mars au matin, à l’Assemblée Nationale, le Comité de soutien des élus à l’Abeille et à l’Apiculture présentait ses premières demandes pour une véritable application de la loi interdisant les néonicotinoïdes et pour une réelle transparence sur l’origine des miels vendus dans les supermarchés.
L’UNAF, en partenariat avec la FFAP, la LPO, Agir pour l’Environnement et Générations Futures, salue le soutien des élus et suivra attentivement les débats de la loi agricole faisant suite aux Etats Généraux de l’Alimentation.
L’UNAF et Gilles LANIO lui-même, Président de l’UNAF, en sa qualité de directeur de la publication de la revue Abeilles et Fleurs, ont fait l’objet de trois citations directes successives par la société FAMILLE MICHAUD APICULTEURS devant le Tribunal Correctionnel de PARIS.
La société FAMILLE MICHAUD APICULTEURS leur reproche d’avoir commis un délit de presse à l’occasion de l’éditorial du mois de novembre 2017.
Le dossier est entre les mains de l’avocat de l’UNAF. L’UNAF ne se laissera en aucune manière intimider par ces procédures injustifiées.
L’UNAF et la CNTESA sont heureux de vous présenter la vidéo de la 1ère édition du Concours des Miels de France qui s’est déroulé le 25 janvier 2018
D’ores et déjà nous vous annonçons que la 2ème édition du Concours se déroulera jeudi 17 janvier 2019 au Palais Iéna. Courant du printemps vous trouverez toutes les informations sur notre site internet.
Fin septembre 2017, malgré les alertes de l’UNAF sur la dangerosité de la molécule, l’Anses a autorisé deux pesticides à base de sulfoxaflor, le Closer et le Transform, au profit de Dow AgroSciences. Pour l’UNAF, les caractéristiques du sulfoxaflor en font un pesticide très dangereux pour les abeilles : il est systémique, neurotoxique et comme tel, il a la capacité d’entrainer, même à faible dose, des effets sublétaux.
Ces caractéristiques auraient dû conduire à une évaluation minutieuse de l’impact de ces produits sur les abeilles. Pourtant, une analyse attentive des dossiers révèle une évaluation lacunaire.
Pour en savoir plus voir les liens ci-dessous :